Bel exemple de réflexion partenariale dans la lutte contre la désertification médicale menée ce jour à Saint-Martin-Boulogne.
Je remercie les élus Sandra Mille, conseillère déléguée et conseillère départementale, ainsi que le maire de la ville Delphine Raphaël Jules, de prendre cette problématique à bras-le-corps : des échanges nourris par les médecins en place, la CPAM et l'ARS sur les conditions de recrutement de jeunes nouveaux médecins dans les zones tendues.
Si de nombreuses aides graduées sont aujourd'hui possibles et intéressantes, l'attractivité de la ville est loin d'être négligeable !
Mais je reste persuadé qu'il nous faudra attendre 2030 pour bénéficier des effets durables de la fin du numérus clausus votée dans le cadre de la loi Santé 2019, et effective depuis la rentrée 2021... car il faut du temps pour la formation des médecins.

